La fuite de l'instantané,




Période funeste du libre esprit
Il dégringole l'orée de sa vie
A toujours vouloir refuser l'ennui
Qui sommeille dans son esprit.

L'hydile voyage dans ses nuits
A le réveiller de douleurs
Douleurs funestes qui rient
Face à ses rêves menteurs.

Le sommeil éternel sans fin
Refuse de le suivre ailleurs
Face aux inquiétudes du matin
Qui lui apaiserait sa douleur.

L'asphyxie des bonheurs passés
Accentue ses noirs nuages
Et rendent ses chemins fanés
Au détriment de l'âge.



Vendredi 12 janvier 2007
 



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