Le songe muet de ma vie,





Sur ce chemin de halage

Où je promène mes pensées

Courent mes nombreux mirages

Qu'en ce chemin j'ai pu rêver

Le cafard de mon triste ennui

Suit le poids de mes souvenirs

Que même le soleil a fuit

Cauchemar qui voudrait mourir.

Les cheveaux courent mes rêves

Et ont pris enfin leur élan

Mais c'est sans aucune trêve

Que je recherche le mourant.

Le songe muet de ma vie

A Venise s'est terminé

Je recherche toujours l'amie

Qu'un jour j'ai pu laisser.





Mardi 17 avril 2007
 



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