Vertigo,



Du pouvoir absolu de l'esprit jamais fatigué

Je me mourai au soleil mais à l'ombre de ma vie

Dans un monde à part avec l'éternelle jeunesse.

De quelques intuitions que j'ai trop souvent éprouvé

Et que j'ai sans cesse, immédiatement assourdies

J'ai évité un jour de perdre toute ma tendresse.



Jeudi 18 janvier 1990.
 



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